Mettre la finance au service de la transition écologique
Résumé
Le secteur financier a vocation à prendre une part importante dans la transition écologique en contribuant à mobiliser des capitaux pour les orienter vers le financement d’infrastructures ou d’investissements productifs assurant des usages plus respectueux de l’environnement. Une partie de cette évolution devrait se faire de façon décentralisée, c’est-à-dire par le libre jeu des initiatives individuelles des épargnants et des institutions financières. Or, il se peut que l’horizon des décisions individuelles soit trop court par rapport à celui de l’observation des conséquences de la transition écologique. L’évaluation des gains et des risques liés aux investissements réalisés est alors sujette à des erreurs et des manipulations. Il appartient ainsi aux régulateurs des marchés et des intermédiaires financiers, ainsi qu’aux autorités monétaires de corriger ces imperfections en considérant les risques écologiques comme des composantes d’instabilités financières à venir. Dans ce contexte, comment mesurer les risques liés aux désordres écologiques ? Quels produits de placements et de financements sont susceptibles de contribuer à la transition écologique ? Comment les politiques monétaires et de régulation peuvent-elles agir pour contribuer à la prévention des risques environnementaux ? Comment coordonner l’apport des régulations monétaires et financières avec les politiques de normes et de taxations des pollutions ?
Intervenants
Coordinateur
Modérateur
Contributions
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